Bonjour Frédéric. En tant que personne intéressée par les politiques linguistiques au Canada, ainsi que par les droits linguistiques des minorités (principalement francophones, mais aussi anglophones), votre article m’a amené à me poser une autre question : comment le Québec pourrait-il mieux réussir à intégrer et à garder sa population immigrante?
Je suis convaincu que les mesures de type «bâton» comme la loi 101 ont fait autant de mal à la langue française au Canada au fil des ans qu’à la protection et à la promotion de son utilisation au Québec. La récente décision de doubler les frais de scolarité pour les étudiants d’autres provinces qui souhaitent s’inscrire dans les trois universités anglophones du Québec sera, à mon avis, encore un autre cas où l’on fera plus de mal que de bien au Québec.
Soit dit en passant, je suis le vice-président de l’association francophone locale (le seul anglophone parmi un merveilleux groupe de francophones), ce qui me donne souvent l’occasion de discuter de questions comme celle-ci.
Bonjour Warren! Premièrement, félicitations pour votre français écrit, qui est excellent. Les politiques linguistiques du Québec ont toujours été matière à débat. Et ça peut mener à des discussions très animées. Je préfère ne pas me prononcer en matière de politique, pour me concentrer sur les questions plus pratiques de l'apprentissage de la langue. Une idée de mon article était surtout de chercher à comprendre la culture.
Bonjour Frédéric. Je respecterai certainement le ton que vous voulez donner. Mieux comprendre la culture québécoise est aussi un de mes objectifs. Si jamais vous voulez discuter de la vie des Franco-Colombiens, je serai ravi de le faire. Je pense avoir acquis quelques connaissances.
Un autre de mes objectifs est de mieux comprendre le discours de François, le président de l’association francophone locale, avec qui je dois souvent communiquer. Originaire de Montréal, je trouve son discours beaucoup plus difficile à comprendre que celui de tous les autres francophones. Je pense que ma difficulté réside davantage dans sa façon de parler et les expressions qu’il aime utiliser, plutôt que dans son accent.
Bonjour Warren. On peut parler de politique. Je voulais seulement éviter de lancer de gros débats sur la loi 101, etc. Ce sont des sujets assez sensibles et complexes. L’accent québécois est un mélange de prononciation, de contractions, de vocabulaire et d’expressions différents. J’en parle dans la section “Quebecois” du site mais j’ai aussi plein de nouveaux articles sur le sujet, qui s’en viennent.
Bonjour Frédéric. En tant que personne intéressée par les politiques linguistiques au Canada, ainsi que par les droits linguistiques des minorités (principalement francophones, mais aussi anglophones), votre article m’a amené à me poser une autre question : comment le Québec pourrait-il mieux réussir à intégrer et à garder sa population immigrante?
Je suis convaincu que les mesures de type «bâton» comme la loi 101 ont fait autant de mal à la langue française au Canada au fil des ans qu’à la protection et à la promotion de son utilisation au Québec. La récente décision de doubler les frais de scolarité pour les étudiants d’autres provinces qui souhaitent s’inscrire dans les trois universités anglophones du Québec sera, à mon avis, encore un autre cas où l’on fera plus de mal que de bien au Québec.
Soit dit en passant, je suis le vice-président de l’association francophone locale (le seul anglophone parmi un merveilleux groupe de francophones), ce qui me donne souvent l’occasion de discuter de questions comme celle-ci.
Bonjour Warren! Premièrement, félicitations pour votre français écrit, qui est excellent. Les politiques linguistiques du Québec ont toujours été matière à débat. Et ça peut mener à des discussions très animées. Je préfère ne pas me prononcer en matière de politique, pour me concentrer sur les questions plus pratiques de l'apprentissage de la langue. Une idée de mon article était surtout de chercher à comprendre la culture.
Bonjour Frédéric. Je respecterai certainement le ton que vous voulez donner. Mieux comprendre la culture québécoise est aussi un de mes objectifs. Si jamais vous voulez discuter de la vie des Franco-Colombiens, je serai ravi de le faire. Je pense avoir acquis quelques connaissances.
Un autre de mes objectifs est de mieux comprendre le discours de François, le président de l’association francophone locale, avec qui je dois souvent communiquer. Originaire de Montréal, je trouve son discours beaucoup plus difficile à comprendre que celui de tous les autres francophones. Je pense que ma difficulté réside davantage dans sa façon de parler et les expressions qu’il aime utiliser, plutôt que dans son accent.
Bonjour Warren. On peut parler de politique. Je voulais seulement éviter de lancer de gros débats sur la loi 101, etc. Ce sont des sujets assez sensibles et complexes. L’accent québécois est un mélange de prononciation, de contractions, de vocabulaire et d’expressions différents. J’en parle dans la section “Quebecois” du site mais j’ai aussi plein de nouveaux articles sur le sujet, qui s’en viennent.